En 1885, Louis PASTEUR inventait le premier vaccin humain contre la rage, à l’origine de la vaccination d’aujourd’hui.
Le 3 septembre 1928, Alexander FLEMING découvrait la pénicilline, bien connue aujourd’hui comme un antibiotique qui soigne de nombreuses maladies comme la tuberculose ou la syphilis.
Récemment, les dernières innovations en santé de grandes entreprises technologiques ont eu un fort écho médiatique. La déclaration la plus retentissante étant celle de Google, qui a annoncé la mise au point d’un prototype de nanoparticules, capables de détecter de façon précoce un problème médical tel qu’une tumeur, une crise cardiaque ou un accident vasculaire cérébral. Sans oublier la myriade de dispositifs mis sur le marché dans la santé connectée, comme l’application Microsoft Health, la plate-forme Google Fit, ou le système français Withings Aura conçu spécifiquement pour observer son sommeil et en améliorer la qualité.
Le constat est très clair : la recherche d’hier, axée sur les découvertes médicales, biotechnologiques ou moléculaires, a évolué aujourd’hui vers une recherche mue par les NTIC et les objets connectés.
Le Big Data promet, grâce à ses capacités de traitement et de rapprochement de millions d’informations à travers le monde, de trouver des solutions à certaines pathologies.
Cette évolution permettra de mettre au point de nouveaux traitements innovants et efficaces contre de nombreuses maladies.
Le monde de la santé doit donc maintenant inscrire dans son ADN que le progrès médical est totalement corrélé aux innovations technologiques.