Qui n’avance pas recule. C’est vrai d’un individu, c’est vrai d’une nation. Habitudes, préjugés encrassent les neurones et figent la sauce des lois et usages. Seul le vent de la marche en avant est capable de dépoussiérer tout cela. Mais, figé et encrassé, l’on peut néanmoins survivre.
Qui n’avance pas meurt, devrait-on plutôt dire d’une entreprise. Le laxisme, la paresse, l’à peu près, la routine, que peuvent se permettre un individu ou une nation, sont mortels pour l’entreprise. Voilà peut-être pourquoi le travail est si salutaire aux hommes et aux nations.