On n’a d’yeux que pour ce qui est neuf, nouveau, ou actuel. Et tout ce qu’il y a eu avant nous, qui fait que nous pouvons être ce que nous sommes, et sans quoi nous ne serions encore rien ?
Nous sommes aussi présomptueux et ingrats que le périscope qui, tout fier et ébloui de ce que lui seul peut voir, ignore et méprise le sous-marin qui, pourtant, l’a créé, le porte et le fait vivre.